Il aurait pu succomber dans le carnage de samedi, mais, A Diallo a eu plus de chance que les 13 morts de la tuerie de masse de Boffa.
Touché par deux balles, l’homme d’une cinquantaine d’années rencontré aux urgences de l’hôpital régional de Ziguinchor raconte cette journée d’horreur quelque part dans la forêt de Boffa.
(Voir vidéo)
GMS/ Papo Mané