Les pensionnaires du village de reclassement de Djibélor ont assez de vivre dans la promiscuité à cause de l’étroitesse de leurs maisons.
Ces citoyens victimes de leur isolement à cause de la lèpre luttent quotidiennement contre la stigmatisation et lancent un cri de cœur pour le respect de leur droit à vivre dans un environnement sain et descend. Moussa Faye, représentant du chef de ce village.
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GMS/Cheikh Tidiane Cissé