Quatre à dix ans de prison ferme, dix à trente millions de francs d’amande, c’est l’annonce du gouvernement contre le trafic de bois en Casamance ; une mesure perçu comme un cauchemar et qui a fait perdre l’espoir à plusieurs professionnels du bois dans la région. Ces derniers craignent pour l’avenir de leur métier.
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GMS/Maïmouna Bâ