Une implication effective des femmes du bois sacré dans la gestion des établissements scolaires et le recours à l’assistance de structures spécialisées dans la prise en charge psychologique pourraient épargner les élèves du phénomène d’Hystérie collective encore appelé « Djiné Maïmouna ».
L’avis est de la chargée du genre à l’IEF de Bignona 1 Khady Goudiaby Diédhiou que nous écoutons.
(Voir la vidéo)
GMS/Eva Sagna