Au CEM Soucoupapaye les femmes du bois sacré s’adonnent à des pratiques rituelles au sein de l’établissement depuis plus de 10 jours pour permettre à l’école de retrouver sa stabilité suite au phénomène des crises d’hystéries collective encore appelée « Djiné Maïmouna » qui touche de façons spécifique les filles.
Babacar Diack IEF de Ziguinchor revient sur ce fait qui empêche les élèves de rejoindre les classes et qui pourrait sérieusement impacter le quantum horaire. Écoutons l’Inspecteur de l’éducation et de la formation de Ziguinchor.
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GMS/Eva Sagna