Après les consommateurs, c’est au tour des vendeurs de moutons du foirail d’Alwar de vivre un cauchemar.
Des centaines de moutons restés invendus constituent un calvaire chez les propriétaires confrontés à l’exigence de nourriture, de sécurité, de la taxe municipale et surtout l’obligation de débourser encore beaucoup d’argents pour l’acheminement du bétail restant au bercail.
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GMS / Rokhaya Bèye