Les ondes sont brouillées, les oiseaux annonciateurs du mal masquent le bleu du ciel. Le sifflement du vent est identique à la tempête du désert.
Les rues sont vides, seul le regard égaré du malade mentale (apparemment) constitue le décor.
Si la peur est palpable, l’espoir d’une fiesta est permis avec ce garçon qui descend des escaliers avec le sourire comme pour accueillir le retour d’un champion.
RDV le 14 pour la diffusion de CALIFAT