INTERNATIONALE- Les manifestations ont repris, jeudi, à Khartoum au lendemain d’une journée sanglante au cours de laquelle au moins quinze personnes ont été tuées par les forces de sécurité.
Les forces de sécurité ont à nouveau tiré, jeudi 18 novembre, des grenades lacrymogènes sur des manifestants anti-putsch à Khartoum au lendemain de la journée la plus sanglante depuis le coup d’État du 25 octobre.
En matinée, jeudi, alors que les communications téléphoniques avaient été rétablies après une coupure lors de la répression, les forces de sécurité ont de nouveau tenté de disperser des dizaines de manifestants, restés sur leurs barricades dans la banlieue nord de la capitale.
Là, au moins onze personnes, dont une femme, ont été fauchées mercredi par des balles tirées, selon un syndicat de médecins prodémocratie, par les forces de sécurité qui visaient « la tête, le cou ou le torse ». LIRE LA SUITE