SOCIÉTÉ-Malgré le cadre juridique renforcé les mutilations génitales féminines ainsi que les mariages précoces et forcés sont notés au Sénégal avec leurs lots de conséquences aussi bien sur le plan de la santé que de la scolarisation des filles. Voilà pourquoi Amnesty international a lancé un nouveau projet sur trois ans pour renforcer les mécanismes de protection de ces couches vulnérables. C’est dans ce sens que ces membres sont capacités à Bignona.
GMS / Lamine Badiane