Fustigeant des « nervis antidémocratiques » qui, dans les manifestations, « commencent à pourrir tout, à casser, à attaquer les flics et à risquer de tuer », M. Zemmour s’est dit « étonné » de « l’impunité non seulement judiciaire mais aussi médiatique et politique » dont ces auteurs de violences bénéficieraient, lors du Grand rendez-vous Europe 1/Cnews/Les Echos.
A ce titre, M. Zemmour estime « qu’il faut donner des consignes de fermeté » et que « justice suive ».
« Je sais bien que depuis 1986, tout pouvoir est tétanisé par le syndrome Malik Oussekine », du nom de cet étudiant français âgé de 22 ans et d’origine algérienne, tué à Paris par des policiers en marge d’une manifestation contre un projet de réforme universitaire.
« C’est ce qui hante tous nos gouvernants. Je pense qu’il faut se défaire de ce syndrome (…) et il faut absolument rétablir l’ordre », a-t-il insisté.
Selon le ministère de l’Intérieur, 441 policiers et gendarmes ont été blessés jeudi lors des mobilisations contre la réforme des retraites. Samedi, une manifestation interdite contre des bassines à Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres a aussi tourné à l’affrontement entre gendarmes et militants.
Pour M. Zemmour, le principal responsable de ce « climat » politique est l’Insoumis Jean-Luc Mélenchon, « imam caché » de l’union de gauche Nupes, et « maestro de tout cela ».
« Jean-Luc Mélenchon dirige tout le monde » et « oriente le pays », a-t-il martelé, dénonçant « que ce soit à l’Assemblée nationale, que ce soit dans la rue que ce soit dans les esprits, dans les médias, à la télévision » une « NUPES-isation des esprtis ».
Cette critique s’étend pour M. Zemmour au Rassemblement national, qui « est fasciné par la NUPES » et « se soumet idéologiquement ». Et « au sein de LR, même vous avez de nombreux élus, (le député Aurélien) Pradié en tête, qui se prennent pour des Che Guevara de bars-cafés », a-t-il encore ironisé.
Interogé sur l’attitude qu’Emmanuel Macron devrait adopter face à la contestation de la réforme des retraites, M. Zemmour a jugé que le président n’avait « pas d’autre solution que de tenir ». Lui-même, en pareille situation, « ne céderai(t) pas ».
S’il « renonce à sa réforme, il est ridicule » et « il peut aller finir son mandat tranquillement à Rambouillet », a-t-renchéri.
« S’il fait de nouvelles élections, s’il dissout, il reviendra avec une majorité moins forte », a-t-il fait valoir.
Selon le ministère de l’Intérieur, 441 policiers et gendarmes ont été blessés jeudi lors des mobilisations contre la réforme des retraites. Samedi, une manifestation interdite contre des bassines à Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres a aussi tourné à l’affrontement entre gendarmes et militants.
Pour M. Zemmour, le principal responsable de ce « climat » politique est l’Insoumis Jean-Luc Mélenchon, « imam caché » de l’union de gauche Nupes, et « maestro de tout cela ».
« Jean-Luc Mélenchon dirige tout le monde » et « oriente le pays », a-t-il martelé, dénonçant « que ce soit à l’Assemblée nationale, que ce soit dans la rue que ce soit dans les esprits, dans les médias, à la télévision » une « NUPES-isation des esprtis ».
Cette critique s’étend pour M. Zemmour au Rassemblement national, qui « est fasciné par la NUPES » et « se soumet idéologiquement ». Et « au sein de LR, même vous avez de nombreux élus, (le député Aurélien) Pradié en tête, qui se prennent pour des Che Guevara de bars-cafés », a-t-il encore ironisé.
Interogé sur l’attitude qu’Emmanuel Macron devrait adopter face à la contestation de la réforme des retraites, M. Zemmour a jugé que le président n’avait « pas d’autre solution que de tenir ». Lui-même, en pareille situation, « ne céderai(t) pas ».
S’il « renonce à sa réforme, il est ridicule » et « il peut aller finir son mandat tranquillement à Rambouillet », a-t-renchéri.
« S’il fait de nouvelles élections, s’il dissout, il reviendra avec une majorité moins forte », a-t-il fait valoir.