« Le football n’a pas été juste » avec le Paris SG, éliminé en demi-finale de Ligue des champions après avoir touché six fois les montants contre Dortmund en deux matches, a estimé l’entraîneur Luis Enrique, qui a évoqué le « vide » ressenti par l’équipe.
« Le sentiment c’est de la tristesse, on n’a pas été inférieurs, si on additionne les deux matches, on a six tirs sur le poteau, c’est parfois injuste le foot, on n’a pas marqué un but après avoir tiré 31 fois ce soir », a-t-il déclaré en conférence de presse. « Le foot n’a pas été juste sur l’aller et retour », « mais le foot récompense celui qui marque et non pas celui qui tire sur le poteau », a ajouté l’Espagnol.
« La différence entre tirer sur le poteau et marquer, ça dépend du saint-esprit qui passait par là. Une grande malchance a touché Paris, les expected goals (statistique de buts attendus) ont été de trois », a-t-il lâché. « Si une équipe a eu de la malchance ce soir, sans enlever de mérite à Dortmund, c’est le PSG et personne d’autre », a insisté Luis Enrique.
« Il va y avoir deux jours de profonde douleur et c’est le sport », a-t-il confié. « C’est très important de savoir perdre, pour donner l’exemple aux enfants, il faut féliciter Dortmund, et accepter la défaite ». Le coach parisien s’est néanmoins réjoui : « J’ai vu une équipe avec un esprit de compétition unique, qui a tout donné de la première à la 90e minute ».
« Ce désir d’union est très puissant, j’espère que c’est quelque chose qui va durer », a dit celui qui est arrivé sur le banc l’été dernier. « S’il y a quelque chose qu’on ne peut pas reprocher à cette équipe c’est de ne pas avoir une fois inébranlable en ce qu’elle fait », a-t-il assuré.
De son côté Warren Zaïre-Emery a affirmé : « On s’est créé des occasions mais on n’a pas su les concrétiser. C’est le football c’est comme ça. Ils n’ont pas été plus forts que nous, si on avait mis nos occasions on serait qualifiés. […] Ça sera pour la prochaine fois ».
« Le sentiment c’est de la tristesse, on n’a pas été inférieurs, si on additionne les deux matches, on a six tirs sur le poteau, c’est parfois injuste le foot, on n’a pas marqué un but après avoir tiré 31 fois ce soir », a-t-il déclaré en conférence de presse. « Le foot n’a pas été juste sur l’aller et retour », « mais le foot récompense celui qui marque et non pas celui qui tire sur le poteau », a ajouté l’Espagnol.
« La différence entre tirer sur le poteau et marquer, ça dépend du saint-esprit qui passait par là. Une grande malchance a touché Paris, les expected goals (statistique de buts attendus) ont été de trois », a-t-il lâché. « Si une équipe a eu de la malchance ce soir, sans enlever de mérite à Dortmund, c’est le PSG et personne d’autre », a insisté Luis Enrique.
« Il va y avoir deux jours de profonde douleur et c’est le sport », a-t-il confié. « C’est très important de savoir perdre, pour donner l’exemple aux enfants, il faut féliciter Dortmund, et accepter la défaite ». Le coach parisien s’est néanmoins réjoui : « J’ai vu une équipe avec un esprit de compétition unique, qui a tout donné de la première à la 90e minute ».
« Ce désir d’union est très puissant, j’espère que c’est quelque chose qui va durer », a dit celui qui est arrivé sur le banc l’été dernier. « S’il y a quelque chose qu’on ne peut pas reprocher à cette équipe c’est de ne pas avoir une fois inébranlable en ce qu’elle fait », a-t-il assuré.
De son côté Warren Zaïre-Emery a affirmé : « On s’est créé des occasions mais on n’a pas su les concrétiser. C’est le football c’est comme ça. Ils n’ont pas été plus forts que nous, si on avait mis nos occasions on serait qualifiés. […] Ça sera pour la prochaine fois ».
Avec AFP