– Etalon d’or de Yennenga: « Ashkal » de Youssef Chebbi (Tunisie)
– Etalon d’argent: « Sira », d’Apolline Traoré (Burkina Faso)
– Etalon de bronze: « Shimoni » d’Angela Wamai (Kenya)
– Prix d’interprétation masculine: l’ensemble des acteurs de « Sous les figues » d’Erige Sehiri (Tunisie)
– Prix d’interprétation féminine: l’ensemble des actrices de « Sous les figues » d’Erige Sehiri, (Tunisie)
– Meilleur décor: « Mami Wata » de Fiery Obasi (Nigeria)
– Meilleur montage: « Abu Saddam » de Nadine Khan (Egypte)
– Meilleur scénario : « Le bleu du caftan » de Maryam Touzani (Maroc)
– Prix de l’image: « Mami Wata » de Fiery Obasi (Nigeria)
– Prix du son: « Ashkal », de Youssef Chebbi (Tunisie)
– Meilleure musique: « Our lady of the Chinese shop » d’Ery Claver (Angola)
– Mention spéciale du jury: « Regarde les étoiles » de David Constantin (Ile Maurice)
– Poulain d’or fiction court-métrage: « Will my parents come to see me », de Mo Harawe (Somalie)
– Poulain d’argent fiction court-métrage: « A doll » d’Andriaminosa Hary et Joel Rakotovelo (Madagascar)
– Poulain de bronze fiction court-métrage: « Tsutsue », d’Amartei Armar (Ghana)
– Etalon d’or documentaire long-métrage: « Omi Nobu/L’Homme nouveau » de Carlos Yuri Ceuninck (Cap-Vert)
– Étalon d’argent documentaire long-métrage: « Nous, étudiants » de Rafiki Fariala (Centrafrique)
– Étalon de bronze documentaire long-métrage: « Gardien des mondes », de Leïla Chaïbi (Algérie)
– Poulain d’or documentaire court-métrage: « Angle mort » de Lofti Achour (Tunisie)
– Poulain d’argent documentaire court-métrage: « Katanga nation » de Beza Hailu Lemma (Ethiopie)
– Poulain de bronze documentaire court-métrage: « Kelasi », de Fransix Tenda Lomba (RDC)
Mention spéciale du jury: « L’envoyée de Dieu » d’Amina Mamani (Niger) et « Cuba en Afrique » de Negash Abdurahman (Ethiopie)
SECTION PERSPECTIVES
– Prix Paul Robeson au long-métrage documentaire « Le spectre de Boko Haram » de Cyrielle Raingou (Cameroun)
– Meilleur film burkinabè: « Laabli l’insaisissable », de Luc Youlouka Damiba.
– Meilleur espoir burkinabè: « Le botaniste », de Floriane Zoundi
– Révélation du cinéma burkinabè: « Malla, aussi loin que dure la nuit », de Dramane Ouédraogo.