La persistance de pratiques comme l’excision, ajoutée aux conséquences du conflit armé en Casamance, en termes de dissolution du tissu social et de destruction du système sanitaire te les violences basées sur le genre qui sont légion dans cette partie du Sénégal ont permis à des maladies comme la fistule obstétricale de s’installer ou de gagner du terrain dans le sud du pays.
La plateforme des femmes pour la paix en Casamance et ses partenaires se sont engagés depuis dans le combat pour éradiquer cette problématique. La Plateforme en collaboration avec le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) et la région médicale, a donc engagé la bataille contre les fistules, dans le cadre d’un projet de gratuité des soins pour éradiquer cette pathologie qui fait perdre aux femmes, outre leur dignité, leur autonomie financière.
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GMS /
Amady Khalilou Diémé