La France « regrette la décision prise par les autorités burkinabè de suspendre la diffusion de France 24 » au Burkina Faso en raison d’une interview sur la chaîne d’informations du chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique, a indiqué lundi le ministère français des Affaires étrangères.
Paris réaffirme en outre « son engagement constant et déterminé en faveur de la liberté de la presse, de la liberté d’expression et de la protection des journalistes et de tous ceux dont l’expression concourt à une information libre et plurielle et au débat public, partout dans le monde », a ajouté le Quai d’Orsay dans un communiqué.