Il est « très impoli »: Ce que la reine Elizabeth II disait de Trump, selon une biographie

De son vivant, la reine d’Angleterre Elisabeth II a rencontré à deux reprises l’ex-Président américain Donald Trump. Leur première entrevue est intervenue en 2018.
 
 
 
Avec  son épouse Melania, ils avaient alors été invités à prendre un thé avec Son Altesse au château de Windsor. 
 
 
 
Un an plus tard, l’ex-couple présidentiel américain effectue une visite d’État en Grande Bretagne.
 
 
 
« Elle détestait particulièrement la façon dont il ne pouvait s’empêcher de regarder par-dessus son épaule… »
 
 
 
Le milliardaire et sa famille sont accueillis et hébergés au palais de Buckingham par la reine et les membres de la famille royale. Ils sont les invités d’honneur d’un banquet d’État. Au cours de ces visites, la reine Elisabeth II a  pu observer Donald Trump, et son comportement.
 
 
 
L’auteur anglais Craig Brown, révèle dans une nouvelle biographie de la souveraine, qu’elle était loin d’être élogieuse à l’égard du républicain.
 
 
 
Selon un extrait de son livre (A Voyage Around The Queen), publié par le Daily Mail, il affirme que Son Altesse a confié à un de ses invités, quelques semaines après la visite de Trump, qu’elle trouvait que le magnat de l’immobilier « très impoli ». 
 
 
 
« Elle détestait particulièrement la façon dont il ne pouvait s’empêcher de regarder par-dessus son épaule, comme s’il cherchait d’autres personnes plus intéressantes ».
 
 
 
 
 
Elle pensait que Trump « devait avoir un arrangement » avec sa femme Melania… »
 
Son Altesse aurait également fait des commentaires sur le couple présidentiel. Elle pensait que Trump « devait avoir un arrangement » avec sa femme Melania, sinon, pourquoi resterait-elle mariée avec lui ? ».
 
Aux États-Unis, l’extrait de la biographie a déjà fait réagir les collaborateurs du candidat républicain à la Présidentielle de novembre prochain. Directeur de la communication de la campagne de Trump, Steven Cheung, a déclaré à Newsweek, qu’il s’agit de « fausses nouvelles, des choses inventées de toutes pièces pour vendre des exemplaires d’un livre qui devrait être rangé dans le bac à bonnes affaires de la section fiction ».

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