L’organisation ouest-africaine a condamné avec la plus grande fermeté ce deuxième coup de force militaire en l’espace de huit mois.
La CEDEAO exige des nouveaux maîtres de Ouaga le respect scrupuleux du calendrier de transition, établi en collaboration avec l’ancien gouvernement de transition, pour un retour rapide à l’ordre constitutionnel au plus tard le 1er juillet 2024.