La peur de représailles ou d’être poursuivi peut-être un blocage à la participation du MFDC au processus de négociation pour la paix en Casamance.
L’aile politique du mouvement irrédentiste dénommée « Assaninga » propose qu’une loi d’amnistie soit votée afin de mettre tout le monde à l’aise dans les négociations de paix. Sény Badji, chargé de communication de Assaninga.
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GMS / Lamine Badiane