SOCIÉTÉ– D’habitude les ordures étaient le casse des populations au lendemain de la tabaski. Pour cette année les agents de la propreté municipale se sont mis à la tâche et ont travaillé même le jour de la fête. Notre équipe a suivi l’itinéraire de ces éboueurs qui travaillent dans des conditions difficiles et dans un contexte de pandémie.
GMS / Souleymane Diallo