Dans un communiqué rendu public, l’ANPELS rappelle que M. Top a présenté ses excuses et retiré le contenu jugé problématique. « Malgré ses excuses et le retrait du contenu, une plainte a été déposée », précise l’association. Aliou Top a également publié un communiqué dans lequel il « reconnaît ses erreurs, présente ses regrets et s’excuse ».
L’ANPELS, tout en réaffirmant son attachement à un « vivre-ensemble harmonieux », déplore les propos tenus par son président. « L’ANPELS ne peut accepter un discours susceptible de nuire à un groupe de la société. Elle déplore les propos de son président et appelle tous les journalistes à œuvrer pour la promotion de la paix nationale », indique le texte.
L’association en profite pour réitérer son engagement en faveur de « l’éthique journalistique, la rigueur professionnelle et le respect des valeurs culturelles et sociales ». Elle appelle également à la clémence des autorités judiciaires et au pardon des plaignants.
« L’ANPELS demande avec insistance la clémence des autorités judiciaires et le pardon des plaignants, afin que le journaliste Aliou Top puisse retrouver la liberté, ce qui permettra à son entreprise de continuer à exister », conclut le communiqué.