La mère de Cristiano Ronaldo a répondu à la rumeur l’impliquant dans une affaire de “sorcellerie” visant à écarter Georgina Rodriguez de la vie de son fils.
Bien qu’il traverse une période compliquée, Cristiano Ronaldo n’a pas manqué de sang-froid pour convertir son penalty hier lors de la victoire d’Al-Nassr sur la pelouse d’Al-Taï (0-2), à l’occasion de la 27e journée du championnat d’Arabie saoudite. Pour autant, selon les médias portugais, son couple avec Georgina Rodriguez serait toujours en pleine crise, certains l’annonçant au bord de la rupture. D’autres rumeurs laissaient entendre qu’une des causes de cette mauvaise passe ne serait autre que Maria Dolores dos Santos Aveiro, la mère du quintuple Ballon d’Or. D’après une source cubaine du nom de Mhoni Vidente, la mère de la superstar portugaise aurait fait usage de la sorcellerie pour briser le couple de son fils. De lourdes accusations qui ont contraint la matriarche de démentir ces fake-news qui pullulent sur la toile.
Une histoire macabre
« Je veux communiquer en mon nom et au nom de ma famille qui comprend Georgina, épouse de mon fils Cristiano. J’affirme qu’aujourd’hui, 16 mai 2023, j’ai appelé mes avocats pour réhabiliter mon nom et celui de ma famille pour ce qu’ils représentent dans ma vie. Une histoire est sortie dans un journal portugais bien connu (qui par conséquent utilise et abuse de mon nom de famille pour se faire de la publicité). Cette histoire fausse, calomnieuse et même macabre livre des nouvelles où l’on parle d’actes horribles que j’aurais ordonnés pour enlever le bonheur d’un de mes enfants… », a ainsi écrit Maria Dolores dos Santos Aveiro sur Instagram.
« Mon nom ne sera jamais jeté sur la place publique, je ne permettrai jamais à une source d’information aussi peu professionnelle d’utiliser mon nom en vain. Je vais prouver que les sources et les mots utilisés jusqu’à présent sont totalement faux. Il y a des offenses gratuites après ce type de nouvelles qui font mal, blessent et nous laissent les mains liées. Mes petits-enfants, certains d’entre eux, lisent et écoutent déjà les gens et les critiques. Pour cette raison même, je n’abandonnerai pas jusqu’à ce que ce journal paie tout ce qui est écrit aujourd’hui. », a-t-elle conclu.